LYRIC
Fragile le fond de nos voix
Quand on dit je t’aime, je crois
Frêle la folle espérance
Le vrai de l’enfance qu’on oublie parfois
Faibles nos idées nouvelles
Pour rendre plus belle la vie du sans-joie
Les lettres jamais reçues
Celles jamais envoyées, (193 mots) pourquoi ?
J’voulais simplement t’apprendre à compter sur moi
(Oh) j’voulais simplement qu’t’apprennes à compter avec moi
Sur le bout de nos doigts
Courir dans les tournesols
Marcher dans les champs de blé
Retrouver les parasols
Et le goût des nuits d’été
Les chevaux qui caracolent
Les souvenirs les démêlés
Et les pastilles de menthol
Le goût de la liberté
(Oh) mince la chance qui nous reste
(Hein, Hein, hum hum) saisissons-la quand même
Maigre comme une hirondelle, petite hirondelle
Que l’hiver fait mourir
Petite possibilité de sentir encore
Quelque chose de chaud
Cette minuscule résistance
Qui fait quand même bouger les choses
Courir dans les tournesols
Marcher dans les champs de blés
Retrouver les parasols
Et le goût des nuits d’été
Les chevaux qui caracolent
Comme des parents qu’ont mal tourné
Et les pastilles de menthol
Le goût de la liberté
Courir dans les tournesols
Marcher dans les champs de blé
Retrouver les parasols
Et le goût des nuits d’été
Les chevaux qui caracolent
Les souvenirs, les démêlés
Et les pastilles de menthol
Le goût de la liberté
Le goût de la liberté
Le goût de la liberté
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