LYRIC

(Passage en MC : 13/07/2020)

Puisqu’on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu’on est fous, puisqu’on est seuls, puisqu’ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J’aimerais quand même te dire
Tout ce que j’ai pu écrire (155 mots)
Je l’ai puisé à l’encre de tes yeux

Je n’avais pas vu que tu portais des chaînes
À trop vouloir te regarder j’en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J’aimerais quand même te dire
Tout ce que j’ai pu écrire
C’est ton sourire qui me l’a dicté

Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté où le soleil se lève
Et si malgré ça j’arrive à t’oublier
J’aimerais quand même te dire
Tout ce que j’ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets

Mais puisqu’on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu’on est fou, puisqu’on est seuls, puisqu’ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J’aimerais quand même te dire
Tout ce que j’ai pu écrire
Je l’ai puisé à l’encre de tes yeux

Added by

Rémi

SHARE

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

VIDEO