LYRIC

J’ai dépensé ma jeunesse comme une poignée de monnaie
J’ai fait un peu de tout, un peu partout, sans savoir rien faire
La fleur aux dents, c’était tout ce que j’avais
Mais je savais bien que toutes les femmes du monde m’attendaient

Il y a les filles dont on rêve
Et celles avec qui l’on dort
Il y a les filles qu’on regrette
Et celles qui laissent des remords
Il y a les filles que l’on aime
Et celles qu’on aurait pu aimer
Puis un jour il y a la femme qu’on attendait

J’ai connu des lits de camp bien plus doux qu’un oreiller
Et des festins de roi sur le zinc d’un buffet de gare
J’ai connu bien des gens, je les ai tous bien aimés
Mais dans leur visage au fond je n’ai rien fait que te chercher

Il y a les filles dont on rêve
Et celles avec qui l’on dort
Il y a les filles qu’on regrette
Et celles qui laissent des remords
Il y a les filles que l’on aime
Et celles qu’on aurait pu aimer
Puis un jour il y a la femme qu’on attendait

Un jour ici, l’autre là, un jour riche et l’autre pas
J’avais faim de tout voir, de tout savoir, j’avais tellement à faire
À me tromper de chemin tant de fois
J’ai quand même fini par trouver celui qui mène à toi

Il y a les filles dont on rêve
Et celles avec qui l’on dort
Il y a les filles qu’on regrette
Et celles qui laissent des remords
Il y a les filles que l’on aime
Et celles qu’on aurait pu aimer
Puis un jour il y a la femme qu’on attendait

Added by

Rémi

SHARE

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *