LYRIC

Le satin noir sur son teint blanc
Avoue peignoir que c’est troublant
Wo-o
Avoue c’est troublant
Je noierais bien ses courtisans
Mais j’en prendrais pour cent dix ans
Au moins
Au moins cent dix ans

Hélène, je suis pas Verlaine
Mais j’t’écris quand même
Que j’t’aime Hélène

Laisse-moi devenir ton amant
Seul montagnard de tes Monts Blancs
Wo-o, de tous tes Monts Blancs

Hélène, je vais perdre haleine
Mais j’te crie quand même
Que j’t’aime Hélène

Tout San Francisco Bay voudrait tant
Que j’m’en aille
J’en perds mon alphabet
J’aime tant la lire en braille

Aïe aïe aïe aïe aïe

Si tu jettes pas tous ces Don Juan
Moi je retourne chez ma maman
Wo-o, moi chez ma maman
Hélène

Wo-o Hélène

Tout San Francisco Bay voudrait tant
Que j’m’en aille
J’en perds mon alphabet
J’aime tant la lire en braille

Aïe aïe aïe aïe aïe

Le savon noir sur ses seins blancs
Avoue baignoire que c’est troublant
Wo-o avoue c’est troublant

Hélène, je suis pas Verlaine
Mais j’t’écris quand même
Que j’t’aime Hélène
Wo-o Hélène

Je vais perdre haleine
Mais j’te crie quand-même
Que j’t’aime Hélène

Wo-o Hélène

Je suis pas Verlaine

Mais j’t’écris quand même

Que j’t’aime Hélène

Wo-o Hélène

 

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Rémi

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