LYRIC
Elle voulait que j’l’appelle Venise
Vous me voyez
Maillot rayé, la voix soumise
En gondolier
Pagayant pour une cerise
Pour un baiser
Elle voulait qu’on l’appelle Venise
Quelle drôle d’idée
Quelle drôle d’idée
Quelle drôle d’idée
Je fondais sous sa voix exquise
Vous me voyez
Le cœur soumis et l’âme éprise
En marinier
Si elles veulent s’appeler Venise
Prenez-les donc bien au sérieux
N’essayez pas de trouver mieux
De trouver mieux
De trouver mieux
Puis elle a fui
Sans ses valises
Vers des brouillards peu mystérieux
Parfois elle rêvait de banquises
Puis préférait Tarzan furieux
Moi le cœur noué dans ma chemise
Je donne toujours ce que je peux
Elle voulait que j’l’appelle Venise
Les yeux trempés
Les reins brisés, l’échine soumise
En marchepied
Me penchant comme la tour de Pise
Pour un baiser
Elle voulait qu’on l’appelle Venise
Quelle drôle d’idée
Quelle drôle d’idée
Quelle drôle d’idée
Quelle drôle d’idée
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