LYRIC
Des arbres se penchent
C’est plus fort, plus fort que tout
Accrochée aux branches
L’air me semble encore trop doux
Dans l’herbe écrasée, à compter mes regrets
Allumette craquée et tout part en fumée
Pendant que les champs brûlent
J’attends que mes larmes viennent
Et quand la plaine ondule
Que jamais rien ne m’atteigne
Ce soir-là on s’est embrassés sans se parler
Autour de nous, le monde aurait pu s’écrouler
Les yeux cernés, des poussières dans les cheveux
Au long de mes jambes, la caresse du feu
Pendant que les champs brûlent
J’attends que mes larmes viennent
Et quand la plaine ondule
Que jamais rien ne m’atteigne
Les yeux cernés, des poussières dans les cheveux
Au long de mes jambes, la caresse du feu
Pendant que les champs brûlent
J’attends que mes larmes viennent
Et quand la plaine ondule
Que jamais rien ne m’atteigne
Pendant que les champs brûlent
J’attends que mes larmes viennent
Et quand la plaine ondule
Que jamais rien ne m’atteigne
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