LYRIC
L’énorme et vieux ventilateur
Essayait de brasser l’air lourd d’odeurs (shai nanao)
On aurait pu palper la peur
Dans une aussi épaisse moiteur (shai nanao)
Pour la douzième fois d’la soirée
Jeanne dégrafait, l’air emmerdé
L’troisième bouton de son bustier
Pour trois matelots vraiment flippés
À la grande table de poker
Deux as planqués sous la théière
Le vicomte lançait les enchères
Une main posée sur l’revolver
Macao, Macao (Macao)
Ti plamb di maté (Macao)
Ça sent le sang écarlaté
L’énorme et vieux ventilateur
Mélangeait friture et sueur (shai nanao)
On sentait monter la terreur
Comme si y avait plus de pesanteur (shai nanao)
Fred écroulé sur ses bongos
Pour avoir sniffé trop de coco
Regardait partir sa Mado
Au bras d’un gigantesque travelo
Et soudain, le coup d’feu
Le vicomte morfle entre les deux yeux
Pour une fois qu’il avait du jeu
Rigole Max en rangeant son feu
Macao, Macao (Macao)
Ti plamb di maté (Macao)
Ça sent le sang écarlaté
Macao, Macao (Macao)
Ti plamb di maté (Macao)
Ça sent le sang écarlaté
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