LYRIC
J’ai vu Berlin, Bucarest et Pékin comme si j’y étais.
Matin et soir le nez dans la télé, c’est encore plus vrai.
J’étais de tous les combats, collée devant l’écran.
À la fois à Soweto, en Chine et au Liban.
Lancer des pierres au bord de Gaza, je ne regrette pas.
Des religieux, au nom de leur foi, m’ont lancé une fatwa.
J’ai vu la guerre (guerre) la victoire était au bout de leurs fusils.
J’ai vu le sang (sang) sur ma peau, j’ai vu la fureur et les cris
Et j’ai prié (ié), j’ai prié tous ceux qui se sont sacrifiés.
J’ai vu la mort (mort) se marrer et ramasser ceux qui restaient…
Et j’ai vu…
Que cent mille fleurs s’ouvrent à jamais, j’ai déjà donné.
Les drapeaux rouges ont cessé de flotter, je les ai brûlés.
Un homme ce matin s’est jeté sous un train.
Abandonné comme un chien, la misère et la faim.
Le pire est à craindre pour demain :
Ça ne me fait rien
Accrochée à ma fenêtre bleutée,
J’ai cherché la vérité.
J’ai vu la guerre (guerre) la victoire était au bout de leurs fusils.
J’ai vu le sang (sang) sur ma peau, j’ai vu la fureur et les cris
Et j’ai prié (ié), j’ai prié tous ceux qui se sont sacrifiés.
J’ai vu la mort (mort) se marrer et ramasser ceux qui restaient…
Et j’ai vu…
J’ai vu la guerre (guerre) la victoire était au bout de leurs fusils.
J’ai vu le sang (sang) sur ma peau, j’ai vu la fureur et les cris
Et j’ai prié (ié), j’ai prié tous ceux qui se sont sacrifiés.
J’ai vu la mort (mort) se marrer et ramasser ceux qui restaient…
J’ai vu la guerre (guerre) la victoire était au bout de leurs fusils.
J’ai vu le sang (sang) sur ma peau, j’ai vu la fureur et les cris
Et j’ai prié (ié), j’ai prié tous ceux qui se sont sacrifiés.
J’ai vu la mort (mort) se marrer et ramasser ceux qui restaient…
Et j’ai vu…
Virginie
14 février 2022 at 18 h 52 min
Bonjour il y a une faute je crois. C’est pour ceux qui se sont sacrifiés. Il y a une vidéo sur youtube de n’oubliez pas les paroles où il y a écrit pour ceux
Rémi
14 février 2022 at 22 h 04 min
Bonjour ! C’était bien « pour ceux » avant, mais ça a été corrigé depuis, et c’est maintenant « tous ceux » !