LYRIC
Et quand le temps se lasse
De n’être que tué
Plus une seconde ne passe
Dans les vies d’uniformité
Quand de peine en méfiance
De larmes en plus jamais
Puis de dépit en défiance
On apprend à se résigner
Viennent les heures sombres
Où tout peut enfin s’allumer
Où quand les vies ne sont plus qu’ombres
Restent nos rêves à inventer (236 mots)
Il me dit que je suis belle
Et qu’il n’attendait que moi
Il me dit que je suis celle
Juste faite pour ses bras
Il parle comme on caresse
De mots qui n’existent pas
De toujours et de tendresse
Et je n’entends que sa voix
Éviter les regards
Prendre cet air absent
Celui qu’ont les gens sur les boul’vards
Cet air qui les rend transparents
Apprendre à tourner les yeux
Devant les gens qui s’aiment
Éviter tous ceux qui marchent à deux
Ceux qui s’embrassent à perdre haleine
Y a-t-il un soir, un moment
Où l’on se dit « c’est plus pour moi »
Tous les mots doux, les coups de sang
Mais dans mes rêves, j’y ai droit
Il me dit que je suis belle
Et qu’il n’attendait que moi
Il me dit que je suis celle
Juste faite pour ses bras
Des mensonges et des bêtises
Qu’un enfant ne croirait pas
Mais les nuits sont mes églises
Et dans mes rêves j’y crois
Il me dit que je suis belle
Je le vois courir vers moi
Ses mains me frôlent et m’entraînent
C’est beau comme au cinéma
Plus de trahison, de peine
Mon scénario n’en veut pas
Il me dit que je suis reine
Et pauvre de moi, j’y crois
Pauvre de moi, j’y crois
MOREAU CORINNE
13 février 2022 at 15 h 05 min
Bonjour,
J’ai trouvé 300 mots
Edouard Rocher
20 avril 2022 at 14 h 24 min
Bonjour,
C’est bien une même chanson, Caroline et Geoffrey l’ont eue durant leur parcours