LYRIC
Gare du Nord en novembre, les cheveux en pagaille
Comme une boule au ventre qui me tend, qui me tord
Et Paris qui s’étale
Tout à coup, me voilà, les jambes fébriles
Qu’elle est grande pour moi cette scène imposante où tout devient fragile
Et bam, et bam (217 mots)
Dans la poitrine
Maman, je l’ai fait pour ça
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
Je veux ce cœur qui bat
Et bam, et bam
Sur la musique
Maman, je l’ai fait pour toi
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
Envolée mon enfance, mais jamais rien n’efface
Les rêves ou la violence, (ah) oui, ça vous glace, mais c’est pour ça qu’on chante
Donnez-moi d’échouer et que vienne la pluie
On ne m’ôtera jamais que j’ai déjà gagné de nouveaux amis
Et bam, et bam
Dans la poitrine
Maman, je l’ai fait pour ça
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
Je veux ce cœur qui bat
Et bam, et bam
Sur la musique
Maman, je l’ai fait pour toi
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
Et plus fort que ma voix, je l’entends frapper
Ce cœur qui bat et balaie mes larmes et mes pourquoi
Et bam, et bam
Dans la poitrine
Maman, je l’ai fait pour ça
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
Je veux ce cœur qui bat
Et bam, et bam
Sur la musique
Messieurs, mesdames me voilà
Je veux pas, je veux pas l’Amérique
(Je veux ce cœur qui bat
Et bam, et bam)
(Oh oh, oh oh)
(Et bam, et bam)
(Oh oh, oh oh)
(Et bam, et bam)
(Oh oh, oh oh)
Je veux ce cœur qui bat
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