LYRIC
J’avais pas prévu d’un jour adopter
Mon enfant, j’ai dû surtout m’adapter
Y a pas que les gènes qui font les familles
Des humains qui s’aiment suffisent
Et si l’averse nous touche, toi et moi, (232 mots)
On la traverse à deux, à trois
Et si l’averse nous touche, toi et moi
Prends ma main de beau-papa
J’t’attendais pas
J’te laisserai pas
Même sans l’même sang, on s’aimera
Non, je ne volerai jamais la place du premier qui t’a dit « je t’aime »
Sur ton visage, on voit son visage et c’est ainsi que tu es belle
De vous à moi, c’est moi, j’avoue, qui me suis invité
Dans sa vie, là, dans la vie où elle n’a rien demandé
Et si l’averse nous touche, toi et moi,
On la traverse à deux, à trois
Et si l’averse nous touche, toi et moi
Prends ma main de beau-papa
J’t’attendais pas
J’te laisserai pas
Même sans l’même sang, on s’aimera
On s’aimera
J’avais pas prévu d’un jour adopter
En vérité nue, c’est toi qui l’as fait
Y a pas que les gènes qui font les familles
Du moment qu’on s’aime
Et si l’averse nous touche, toi et moi
On la traverse à deux, à trois
Et si l’averse nous touche, toi et moi
Prends ma main, dis, prends-la
J’t’attendais pas
J’te laisserai pas
Même sans l’même sang, on s’aimera
Même sans l’même sang, on s’aimera
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