LYRIC
J’aurais préféré pour toi
Juste inverser le cours des choses
J’aurais aimé, et toi
Une main tendue une rose
J’aurais aimé de toi
La certitude d’un geste
Simplement quand ça n’va pas
Ne pas se fuir comme la peste
Ils en étaient déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous les premiers étonnés de récolter ce que l’on sème
Ce que l’on s’aime
J’aurais préféré ma foi
Éviter nos sombres démences
Et maintes, maintes fois
Oublier d’partir en vacances
En vacances de toi
Mais comme l’amitié nous rattrape
Nous rattrape à chaque fois
Autant tenir quand ça dérape
Ils en étaient déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous les premiers étonnés de récolter ce que l’on sème
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
J’aurais bien voulu tu sais
Tenir le cap, sauver les murs
Courir sans m’arrêter
Ne pas frissonner sous l’armure
Et j’aurais voulu tu sais
La longue traversée tranquille
J’aurais même imaginé
Ne jamais atteindre une rive
Ils en étaient déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous les premiers étonnés de récolter ce que l’on sème
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
J’aurais aimé tu sais
Éviter nos fausses mesures
J’aurais même préféré
De nous une lettre d’injures
J’aurais voulu parfois
Oui t’étrangler aux quatre vents
Te serrer dans mes bras
Ah ça, je l’ai voulu souvent
Ils en étaient déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous les premiers étonnés de récolter ce que l’on sème
Ils en étaient déboussolés de voir que l’on tenait quand même
Et nous les premiers étonnés de récolter ce que l’on sème
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
Ce que l’on s’aime
No comments yet