LYRIC
On n’a pas pris la peine de s’rassembler un peu
Avant que le temps prenne nos envies et nos vœux
Les images, les querelles du passé rancunier
Ont forgé nos armures, nos cœurs se sont scellés
Rester seul dans son coin, nos démons animés
Perdus dans nos dessins sans couleur, gris foncé
On aurait pu choisir le pardon, essayer
Une autre histoire d’avenir que de vouloir oublier
Prenons-nous la main le long de la route
Choisissons nos destins sans plus aucun doute
J’ai foi et ce n’est rien
Qu’une question d’écoute d’ouvrir grand nos p’tites mains
Coûte que coûte
On n’a pas pris la peine de se parler de nous
Nos fiertés tout devant sans pouvoir s’mettre à genoux
Dans nos yeux transparents, le mensonge sur nos dents
Impossible de le nier, tout le corps l’révélait
Prenons-nous la main le long de la route
Choisissons nos destins sans plus aucun doute
J’ai foi et ce n’est rien
Qu’une question d’écoute d’ouvrir grand nos petites mains
Coûte que coûte
Prenons-nous la main le long de la route
Laisser vivre la vie, glisser sans retenir
Mais les mots ne sont que des mots
Pas les plus importants
On y met nos sens propres
Qui changent au gré des gens
C’est con ce qu’on peut être con
À se cacher d’soi-même
C’est con ce qu’on peut être con
Car l’autre n’est que l’reflet de c’qu’on s’met à couvert
Si nos schémas ancrés veulent bien n’pas nous figer
C’est le début de nos rêves qui tendent à s’confirmer
Prenons-nous la main le long de la route
Choisissons nos destins sans plus aucun doute
J’ai foi et ce n’est rien
Qu’une question d’écoute d’ouvrir grand nos petites mains
Coûte que coûte
Prenons-nous la main le long de la route
Laisser vivre la vie, glisser sans retenir
Si nos schémas ancrés veulent bien n’pas nous figer
C’est le début de nos rêves qui tendent à s’confirmer
C’est con ce qu’on peut être con
À se cacher d’soi-même
C’est con ce qu’on peut être con
Car l’autre n’est que l’reflet de c’qu’on s’met à couvert
No comments yet