Je n’suis qu’une imbécile allongée sur le dos
J’me refais le film, le début était beau
Puis, je t’imagine jouer sur ton piano
Une mélodie expire dans un écho

J’ai tout gâché, je sais
Je sais, j’ai tout gâché

Je ne peux pas oublier ton cul et le grain de beauté perdu (295 mots)
Sur ton pouce et la peau de ton dos
Le reste, je te le laisse mais je retiens en laisse
Le souvenir ému de ton corps nu

Le reste, je te le laisse
Le reste, je te le laisse
Le reste, je te le laisse
Le reste, je te le laisse

Je te sens au loin, chasser mon souvenir
Qui palpite encore, qui va bientôt mourir
Est-ce mon pauvre cœur qui a tout inventé ?
Étais-tu ici, m’as-tu au moins aimée ?

J’ai tout gâché, je sais
Je sais, j’ai tout gâché

Le reste, je te le laisse
Le reste, je te le laisse
Le reste, je te le laisse
Le reste, je te le laisse

Je ne peux pas oublier ton cul et le grain de beauté perdu
Sur ton pouce et la peau de ton dos
Le reste, je te le laisse mais je retiens en laisse
Le souvenir ému de ton corps nu

Je reste amoureuse d’une idée qui s’éteint
Figée à jamais dans un miroir sans tain
D’où je te regarde t’en sortir à merveille
Épier ton bonheur me le rend moins cruel

Le reste, je te le laisse
Le reste, je te le laisse
Le reste, je te le laisse
Le reste, je te le laisse

Le reste, je te le laisse
Le reste, je te le laisse
Le reste, je te le laisse
Le reste, je te le laisse

Je ne peux pas oublier ton cul et le grain de beauté perdu
Sur ton pouce et la peau de ton dos
Le reste, je te le laisse mais je retiens en laisse
Le souvenir ému de ton corps nu

Le reste, je te le laisse
Le reste, je te le laisse