LYRIC
J’ai vendu ma misère pour une voix de soumission
Au fond de moi la sentinelle pouvait briller sans exception
Et les sourires étaient les mêmes
A-t-on le cri du cœur, la vérité ou la raison?
Vous n’entendez donc que la bête
Et ses réponses à vos questions
Est-ce que la fièvre est un délit d’opinion?
Est-ce que ma peine était un vote de sanction
Et la sentinelle qui trouve réponse à mes questions
Serait-ce la bête, serait-ce la bête, ou bien l’oppression?
Mon prix sert de silence aux fossoyeurs de compassion
Aux mijaurées la suffisance, aux incendiaires de l’unisson
Quand un sourire décède d’avoir souri à l’opinion
À cette soupape, cette sainte atèle, j’aurais pu encore dire non
Est-ce que la fièvre est un délit d’opinion?
Est-ce que ma peine était un vote de sanction
Et la sentinelle qui trouve réponse à mes questions
Serait-ce la bête, serait-ce la bête, ou bien l’oppression?
Ou bien l’oppression
Ou bien l’oppression
Ravale donc ta rengaine, ravale donc tes sanglots,
De l’amour ou d’la haine, qui donc aura bon dos?
J’ai mis ce cri de guerre ,pas en faux-frère mais en son nom
J’ai donné ma main à l’enfer,
Sous vos crachats ma rémission
Est-ce que la fièvre est un délit d’opinion?
Est-ce que ma peine était un vote de sanction
Et la sentinelle qui trouve réponse à mes questions
Serait-ce la bête, serait-ce la bête, ou bien l’oppression?
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